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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 18:14

Les répétitions d'Adèle se poursuivent. Les décors prennent forme, les costumes se dessinent et les personnages commencent à vivre.

 

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                                               2013-03-03 15.04.30Mise en place des acteurs

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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 11:53

 

Un dimanche de répétition, c'est avant tout une journée de partage,  de rires, de bonne humeur.

 

On fait des essais de costumes, les bricoleurs commencent les décors. Les émotions sont là,  les idées fusent. Chacun est attentif aux autres.  Un petit pèle-mèle de cette journée.

 

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Elle est sexi en diable la Stéphanie Bertolet

 

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Nos bricoleurs cogitent, trouent, scient, collent.

 

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                                                                           Certains prennent de la hauteur.

 

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Les Brochant devant un metteur en scène assez content.

 

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Oserai-je dire le meilleur moment de la journée

 

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Les Bertolet mère et fils, fils dépressif à souhait

 

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Corentin et Dominique. Ils sont amoureux, ils sont amoureux

 

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30 janvier 2013 3 30 /01 /janvier /2013 16:49

Les répétitions continuent. Tout le monde est motivé et prend très au sérieux les remarques, conseils et souhaits de notre metteur en scéne.

 

Beaucoup de travail personnel à fournir pour apprendre les textes, réflechir aux intentions de nos personnages,  imaginer leur passé, comprendre leurs réactions présentes. Nous commençons à réfléchir aux costumes, à faire des essayages et bientôt nous commencerons les décors. Ils sont déjà bien construits dans la tête du metteur en scène.

 

 

La passion du théâtre, l'amitié de nos copains, la joie de jouer ensemble nous y aident beaucoup. Et j'oubliais, avec l'aide de notre directrice artistique.

 

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25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 15:48
Pour finir cette série d'articles, un peu d'humour avec la "directrice artistique" et la réponse du metteur en scène. En espérant que cette bonne humeur se retrouvera dans le spectacle. Elle donne déjà une idée de l'ambiance qui régne sur les répétitions.

SYLVIE   
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Les Trèchauds du Tarrel m'ont confié la direction artistique de cette nouvelle saison, avec l’obligation de prendre André Ori comme metteur en scène pour « le ravissement d’Adèle ».
Mon travail n'est pas facile tous les jours avec ces comédiens cabotins pour les uns, introvertis pour les autres, caractériels pour l'ensemble ; une équipe technique qu’il faut former au son et à la lumière et Dieu sait qu’ils n’en sont pas !
Mais je dois faire avec.
J'encadre André et je le conseille dans sa mise en espace ou sur orbite suivant les jours, car ses propos hasardeux sont souvent assez opaques et plongent les comédiens dans le désarroi le plus total: "ne pensez pas votre texte, donnez votre corps, visitez le " ou encore " les accessoires ? Ils doivent être le prolongement de notre âme; Isabelle fait rythmer ta carotte " ainsi parle André Ori pendant les répétitions.
Dans ce contexte bien particulier : rattraper le coup, rassurer, mettre en confiance et organiser, sont mes objectifs de directrice artistique, pour vous amener, Spectateurs courageux, voire inconscients, au ravissement....d'Adèle !
PS : en la circonstance, nous jouerons la 1ère à Milan car L’Adèle aime les Lombards.

ANDRE       IMGP7449

Ces moments de travail qu’on aborde pour la première fois en répétition, avant cela préparés uniquement sur papier ou en lecture, sont véritablement le fait de la création.
 
Entendre et voir évoluer chacun des comédiens de la troupe dans leur nouvelle peau, habillé des mots de l’auteur et s’animer hors de la page manuscrite, reflète d’une magie chrysalide et créatrice.
 
 La découverte d’une ambiance, d’un univers confirme l’idée que nous nous faisions de cette pièce et de la couleur que nous souhaitions lui donner. A partir de maintenant, c’est l’interprétation des comédiens qui va encrer dans la mise en scène le sens de cette histoire. Alors, je pense aux spectateurs. Je me demande si ce que nous leur montrerons est cohérent intellectuellement et artistiquement. Je veux que toutes choses aient du sens.
 
 Avec la disparition d’Adèle, ces villageois qui vivent à l’ombre des bois, ressentent tout ce que le manque à détruit en eux. Seule l’innocence d’un enfant, d’ados en crise ou d’un idiot ouvre les portes vers un ailleurs auquel ils n’ont plus droit. Le texte est drôle, la caricature toujours très proche mais le fond reflète de la détresse humaine cachée mais qui transparait sous les feux des projecteurs et le théâtre peut faire ça.
 
Ma directrice artistique, Sylvie, que l’on m’a imposée cette année, est là pour rendre à ce texte toute la drôlerie qu’il se doit. C’est comme avoir un dix à sa composition.
 
 
 
 
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23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 11:46

Dimanche matin le bureau des tréteaux du charrel a été renouvelé lors de l'Assemblée Générale.

PRESIDENT                      André ORI

           VICE PRESIDENT             Frédéric SERVE

           SECRETAIRE                     Aurélie STOLER

        SECRETAIRE ADJOINT   Jean FEVRIER

              TRESORIERE                     Michèle LANDRO

                    TRESORIER ADJOINT       Jean-Jacques MALY

 

Ce bureau est élu pour deux ans.

 

Ensuite place au théâtre et à Adèle. Je vous avais promis des photos. Voici les premières.

 

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22 janvier 2013 2 22 /01 /janvier /2013 10:40

LE PROJET Georges BRASSENS : où en est-on ?

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Le travail sur BRASSENS avance lentement, mais sûrement espérons-le ! Il faut dire que l’équipe chargée de ce spectacle est la même que celle de « Vilmouth-loin de Vitry », et comme le texte de Serge Valletti est très demandé, dans tous les coins de l’hexagone, il ne reste hélas pas beaucoup de temps à consacrer à Georges Brassens !

Où en est-on ? Les textes ont été choisis pour la plupart, de même que les morceaux de musique.  Quelques ajustements  seront sans doute nécessaires, mais l’essentiel y est !

Pour le comédien (Jean), le travail va consister à trouver un rythme différent pour dire des textes qui habituellement sont chantés. Il ne faudra pas être tenté de copier la musicalité de la chanson !

Pour la pianiste (Martine), le but est de créer des ambiances particulières (improvisations jazz) à partir des musiques originales des chansons de Brassens.

Deux ou trois chansons permettront un travail commun pianiste/comédien et compléteront le programme. Restera alors à trouver le fameux « fil conducteur » ! Les comédiens qui ont joué dans « Pressons » voient sans doute de quoi il s’agit !!

Une idée originale à creuser : « l’invité du jour » : à un moment précis du spectacle, nous demanderons à un (ou plusieurs) invité(s) de nous rejoindre sur scène pour présenter un morceau de son (leur) choix. Il(s) restera (ont) alors sur scène avec nous jusqu’au salut. Cela suppose bien sûr une rencontre (physique ou téléphonique) en amont pour préparer et, si possible, répéter cette séquence de « l’invité du jour ».

Voilà où nous en sommes pour l’instant, nous vous tiendrons au courant de l’avancée du projet qui devrait, en principe,aboutir cet été ou au plus tard à l’automne 2013.

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18 janvier 2013 5 18 /01 /janvier /2013 13:31

Nathalie
St Savournin (1)
 
Je suis ravie, et c'est le mot qui convient, que nous ayons choisi cette pièce.
J'ai l'honneur, la difficulté et la complexité d'y jouer 2 rôles, bien distincts.
Par ordre d'arrivée sur scène :
Stéphanie BERTOLET épouse de Michel BERTOLET. Elle s'est mariée avec lui car « il s'est trouvé là au bon moment, il représentait une certaine sécurité matérielle, j'avais des problèmes, je devais changer de vie ». Mais « ce n'est pas un mari, c'est une chiffe molle, ce n'est pas une femme qu'il lui faut mais une mère ». Et bien justement, parlons-en de sa mère : « je la déteste, elle me déteste, elle est dérangée, cette vieille folle commence vraiment à me taper sur les nerfs ».
Au premier abord, certains diront de Stéphanie, que c'est une nymphomane, mais au fond, c'est tout simplement une femme qui aime les hommes. Qui d'entre nous n'aime pas plaire, se sentir regardé(e), désiré(e) ?

Emma SANTIERI (15 ans) fille de Dominique SANTIERI, l'institutrice du village. C'est une adolescente qui aspire à s'enfuir de ce village de fous et qui souffre des mauvaises relations qu'elle entretient avec sa mère : « je ne supporte plus ce bled et je ne supporte plus ma mère, je rentre du collège elle pleure, je lui parle elle pleure, elle ne sait faire que ça chialer, elle passe son temps à me faire la morale et elle couche avec un flic pourri ». Elle rencontre Gaétan (20 ans), un routard, arrivé récemment au village et qui la fascine.
 
 
MICHELLE  St Savournin (45)
 
 
                                                                              
Je  balance entre Amélie Brochant et Danielle Duché, deux Nanas assez stéréotypées , ayant chacune un caractère différent mais qui ont un point commun: elles portent le fardeau de leurs désillusions , semble-t-il !
 
Amélie , c’est la “nunuche” , mouchée, trompée par son Serge de mari .Elle se réfugie dans ses casseroles et ses torchons pour oublier peut-être sa frustration de ne pas avoir enfanter ?
 
Quant à Danielle , elle a un fils mais pas d’homme . Son CV affectif est chargé si l’on en croit les dires du Boucher...Elle se drape dans une certaine autorité , dignité qui la rend imperméable à la plaisanterie ; assez aigrie, elle a du mal à communiquer avec son entourage.
 
Il faudra donner corps et âme à ces deux figures de femmes, découvrir peu à peu ce qui les rendra vivantes  : pas une mince tâche certes mais intéressante !
                                                                                  000OOO000
 
 
Merci à tous ceux qui ont accepté de donner leurs premières impressions. Bientôt, des photos viendront je l'espère illustrer ces répétitions.
 
 
photo : André Ori
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15 janvier 2013 2 15 /01 /janvier /2013 09:42

FredSt Savournin (15)


Corentin Falière, inspecteur chargé de l'enquête ! Comment mener une enquête lorsqu’on tombe amoureux, comment aimer lorsqu'on mène une enquête ! Voilà la question qui m'anime dans l'approche des répétitions.

Ca y est le texte est presque su, je su presque le texte, je prétexte que je le su, je pressens que je me tue, je me tais et présente mon texte.

Etre flic, c'est difficile, ils sont tous fous !


St Savournin (17)

Jean-Jacques 

 

Le Boucher est un colérique dont la psychologie nous dit qu’elle est une émotion secondaire à une blessure, un manque, une frustration. Comme nous tous le boucher manque d’amour. La belle affaire ! Il le dit d’ailleurs à sa femme se plaignant qu’il lui manque quelque chose et qu’elle n’est pas heureuse. Et si lui disparaissait ? Manquerait-il à quelqu’un ?

Mais voilà son problème : « C’est une boucherie ici. On ne fait pas dans l’humanitaire. » dit le personnage dès la 2ème scène. Un boucher c’est un marchand de viande assassinée !

Dès lors l’obsession sexuelle n'est pas loin : « Il est porté sur la chose c’est pas croyable », déclare sa femme. Méfions-nous tout de même : c’est peut-être davantage l’obsession d’une société que d’un personnage. Quand une adolescente disparaît, fugue ou agression, qui ne pense au sexe ?

Le boucher ne ferait donc que dire tout haut ce que le village pense tout bas.

De là à le faire passer pour un violeur de nymphette voire, pire, un anthropophage contrarié : un ogre... C’est d’ailleurs le conte du Petit Poucet que l'institutrice raconte à sa classe vers la fin ! 

Mais paradoxalement, il est peut-être le personnage qui a la sexualité la plus saine, un peu rude mais saine, quand le désir de son épouse lui vient à la voir en nuisette au milieu de la boucherie en pleine nuit : « Toi et cette viande ça m’affole.» Si c’est pas de la tendresse, ça !

Alors, ce qui manque au boucher, n'est-ce pas être comme Jean-Guy le simple, mais avec un autre art et d'autres matières : un jardinier amoureux des arbres… ?


 

Jean F                            St Savournin (33)


Mon  personnage est Serge Brochant : intéressant à jouer car plus complexe qu'il n'y paraît au premier abord

Au 1er degré, il est ce qu'on pourrait appeler un "sale con" acariâtre qui prend plaisir à dénigrer sa femme et  qui en fait son souffre-douleur en l'asticotant constamment pour la déstabiliser

Au 2ème degré, il s'agit en fait d'un type frustré, qui étouffe dans sa peau de petit retraité étriqué et qui reproche inconsciemment  à sa femme de lui renvoyer cette image

Reste maintenant à trouver, au fil  des répétitions, comment faire percevoir au public la complexité de ce personnage

 

  photos André Ori

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14 janvier 2013 1 14 /01 /janvier /2013 09:48

Voilà, nous y sommes. Le travail sur "le ravissement d'Adèle" a commencé. Le texte n'est pas encore parfaitement su. On fait connaissance avec les personnages. Malgré plusieurs lectures déjà, on ne les apprivoise pas  encore . Ou alors ce sont eux qui ne nous reconnaissent pas ? L'approche est timide,  il ne faut pas les effaroucher. ...

 

 

Michèle  St Savournin (8)

 

Moi je suis la belle mère. Tiens Belle mère. Oui, mais avant d'être belle mère, je suis d'abord une mère. La mère de Michel Bertolet et la grand-mère d'Adèle. Et donc aussi la belle mère de Stéphanie Bertolet.

 

Je suis une mère aimante, trop sans doute.  Une mère hyper protectrice qui a perdu ses prégoratives sur son fils à cause de sa belle fille. Une belle fille qui a épousé son fils par intérêt, qui a le diable chevillé au corps. Elle  décide de partir en croisade à la recherche de sa petite fille. Elle mène l'enquête sur sa disparition, interroge les villageois, retrouve ainsi une raison d'exister. Elle est utile..........

 

Mais nous n'en sommes qu'au début des répétitions. Ce personnage va évoluer et mon appréciation sur ce personnage aussi. Sans doute.

 

Aurélie  St Savournin (6)

 

Quand Dédé nous a présenté cette nouvelle pièce, je dois dire que j'étais assez septique mais j'ai une confiance aveugle en notre metteur en scène et me suis dit qu'il fallait tenter le coup. A bien y réfléchir ce qui me plait le plus dans cette pièce c'est que pour une fois tous les personnages sont déjantés il n'y en a pas un plus qu'un autre, le message est clair, ils sont tous fous, et je pense que l'on va sincèrement s'amuser à construire nos personnages. Mardi dernier j'ai répété pour la première fois le rôle de la bouchère (mon rôle), je me suis éclatée (malgré la fatigue) à essayer de créer ce personnage qui se gonfle au fur et à mesure qu'elle parle...la suite nous dira si je continuerai à le jouer comme cela...me languis de répéter à nouveau avec mes copains"

 

La suite... demain ? peut être ?

 

photos André Ori

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12 septembre 2011 1 12 /09 /septembre /2011 09:58

L'interview de Dominique Richard, l'auteur du Journal de grosse patate.

 

 

 

Le son n'est pas très bon, les enfants sont très bruyants, mais je ne peux résister à la joie de publier cette vidéo.

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